CEOMAG
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Avec ce dernier numéro de l?année, s?achève déjà l?an 2000. J?espère que la nouvelle année, le nouveau siècle et le nouveau millénaire seront encore plus Oriciens. Merci à tous de votre participation à la vie du Club. A
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Si vous recevez ce mag avec du retard, la faute en est à Fabrice et à son jeu
diabolique. Annoncé dans le Courrier Oricien d'octobre et présenté dans la disquette
trimestrielle (format PC), Rush Hour est un jeu carrément addictif. Et allez donc farfouiller
dans le programme, vous apprendrez beaucoup de choses. Par contre, si vous trouvez des
coquilles dans ce CEO-MAG, alors là c'est de ma faute. Espérons que celui de novembre en
contiendra moins que celui d'Octobre. En espérant qu'il vous plaira quand même. A.
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En couverture, le Trombinoscope Oric : Nous avions déjà vu Fabrice Francès
(n°68), Fabrice Broche (n°86), Alain Weber (n°93) et Jonathan Bristow (106). Voici «The
Oric Man», le roi du hard : Claude Sittler. Depuis des années Claude a non seulement volé au
secours de très nombreux Oriciens en panne, mais est à l'origine de bien belles innovations.
Le «Journal du Hard», c'est lui. Soyez gentils, ne lui demandez pas trop : il serait bien
capable de vous donner sa chemise. Honneur à Claude !
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EDITORIAL
Un an de rédaction-en chef ! Il me faut donc faire un peu le bilan. J'ai reçu une vingtaine d'e-mails de félicitation pour le CEO-MAG de juillet/août. C'est vrai qu'il a battu tous les records et pas seulement en épaisseur ! Mais le rédacteur-en-chef ne rédige qu'une petite part. Pour le reste, il sert de boîte à lettre qui centralise les contributions et il faut bien reconnaître qu'elles ont été nombreuses et de qualité. Merci donc à tous, à ceux qui ont participé et à ceux qui vont le faire, dans les prochains numéros. Merci aussi à Alain, qui à réussi à photocopier et dispatcher le pavé à temps et ceci malgré mon retard.
Au cours des 10 premières années (fêtées en avril 2000 avec le numéro 120) le CEO-MAG a eu en moyenne 8 pages par numéro, un peu moins au début, beaucoup plus à la fin. Au cours de la dernière année, c'est un mag de 26 pages en moyenne que vous avez reçu. Comme vous avez pu le lire dans l'article "Du Journal Electr'Oric au CEO-MAG", à deux exceptions près
(Bertrand Petit et Alex Delobel, dont personne ne se souvient plus), le CEO-MAG a eu la chance d'avoir de très bons rédacteurs-en-chef. J'essaie de ne pas dépareiller la tradition.
Outre les "vieux de la vieille" (Alain Weber, Jean Boileau, Laurent Chiacchiérini, etc.), la palme de la fidélité revient à Thierry Bestel et Gilles Boussard qui ont écrit dans le premier numéro et qui m'ont envoyé récemment de la matière première pour le CEO-MAG. Pourtant, des défections se produisent régulièrement, même parmi ceux qui ont contribué de manière significative. Quelques exemples récents : Jon Haworth (ex-vice président, qui sévit toujours sur le web, mais qui nous a laissé tomber sans explications), Jean-Marie Hoy (autre vice-président, qui doit avoir un gros problème, car ce n'est pas son genre de faire le muet), Jean-Marc Duro (écoeuré par l'absence de retour après l'énorme effort de son interface Oric-PC).
D'ailleurs, je reçois très souvent le témoignage de personnes qui ont beaucoup donné dans le désert et en ressentent un peu d'amertume. Mais, comme je le souligne à chaque fois, si les retours ne sont pas immédiats, ils existent malgré tout, tôt ou tard.
Et puis, il y a aussi une nouvelle génération, qui participe activement à la vie du club. J'espère n'oublier personne, pardon si c'est le cas. Cela a commencé, il y a quelques années, avec Simon Guyart, Jean-David Olekhnovitch et Dominique Pessan (1996) puis Jede et Jean-Marc Duro (1997) puis Jean-Claude Catherine, Mickaël Pointier et Philippe Montegnie (1998) et maintenant Grégory Guazzelli (1999). Que de contributions de qualité au CEO-MAG et à la
vie du club en général !
La participation, c'est aussi ceux qui viennent, parfois de loin, aux visus : Alain Weber, André Chéramy, Claude Sittler, Damien Ponnelle, Dominique Pessan, Jean «Zident» Boileau, Jean-Baptiste Grandvallet, Fabrice Francès, les François (Bolf et Launay), Frédéric (Wolinski), Ghislain Poirot, Godefroy Troude, René Hutin, Roger Barbier, Simon Guyart, Thierry et Xavier Bestel, Xavier Regourd et j'en oublie encore un ou deux.
Quid de l'Oric et du CEO ? Ca marche et ça marche même bien. Il faut avoir été à la dernière visu et avoir vu réunies quelques innovations, qui auraient fait pleurer d'envie Oric International : Entre autre, le plus petit Oric du monde (une sorte de Palm-Oric, voir le CEO-MAG de juillet/août) de Fabrice Francès, le SNES comme terminal Oric ainsi que l'émulation Oric sur SNES (JD et Fabrice Francès), l'Oric stéréophonique à 2 fois trois canaux de Dominique Pessan, Claude Sittler et André Chéramy, l'étonnante nappe à cavaliers de configuration de Jean Boileau et je ne parle pas des curiosités apportées par Grégory Guazzelli. Un feu d'artifice cette visu ! Pardon au fidèle Laurent Chiacchiérini, que nous avons exclu de cette visu en fixant la date le seul jour où il ne pouvait pas venir !
Que vive encore longtemps comme ça le CEO! André
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Beaucoup de pages pour ce double numéro de l'été. Outre les rubriques habituelles : Courrier, Drives et DOS, Nostalgie, PB5, Maestro, Shoot Again, Librairie Oric, Réponses, vous trouverez de quoi vous divertir : Invention du Zéro, Journal Electr'Oric, Windows 2000, Photos et Compte-Rendu de la Visu, Récréation Européenne, mais aussi des articles sérieux : ULA2, Restore Hope, Confrères 8 Bits. C'est donc un feu d'artifice que les rédacteurs du MAG vous offrent.
Cordialement.
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Grande révélation de cette Visu : l'Oric à 6 voix. Que de nouvelles possibilités pour les Oriciens mélomanes ! Une des meilleures démonstrations de la vitalité de la communauté Oricienne...
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Au mois de mai... Fais ce qu'il te plait ! Ca tombe bien, j'adore Oriquer (la couverture est trompeuse). A part ça, mon stock d'articles à publier joue la marée basse. A vos plumes, camarades !
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Le voici donc ce numéro spécial "10 ans du CEO-MAG", que je vous avais promis. Je ne pensais pas qu'il serait si gros et si riche. Bravo donc à tous ceux qui soutiennent le CEO-MAG.
Cordialement.
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Décidément, l'an 2000 s'annonce bien, ce numéro comporte encore 30 pages ! Merci à tous ceux qui ont contribué, d'une manière ou d'une autre.
Savez-vous que le n°1 du CEO-MAG fut publié en avril 1990 ? Pour les 10 ans du CEO-MAG, Dominique me propose de faire un numéro spécial. Doit-il avoir 60 pages ? Je ne pense pas que ce soit possible. Mais que diriez-vous d'un poisson d'Avril ? Si cela vous inspire, adressez moi vos oeuvres...
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Le numéro spécial de janvier 2000, avec ses 32 pages, vous a t-il plu ? Celui de février continue dans la même ligne avec encore 30 pages de lecture, de réflexions, de programmes, de nostalgie, d'expérimentation, d'informations etc.
Une fois encore, il ne tient qu'Ã vous que le CEO-MAG continue sur cet élan. Envoyez vos contributions, même les plus modestes !
Merci aux rédacteurs qui ont participé. Mes excuses pour ceux dont les articles sont restés en attente...
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La bogue de l'an 2000 frapperait-elle aussi l'ORIC ? Notre machine favorite aurait-elle donc une horloge secrète ? Il ne semblait pourtant pas que ce fut le cas, hors le périphérique fantôme du TELESTRAT (voir notre couverture de décembre) et quelques programmes d'horloge plus ou moins précis. Le petit monde de l'ORIC était donc bien le seul à se gausser de cette terreur générale de l'an 2000. Rudimentaire l'ORIC ? Certes, mais cela devrait présenter aussi quelques avantages !
Non, notre ORIC n'est pas passé brutalement de l'année 1999 à l'année 1900 ! Rassurez-vous, cette carte 1900, n'est là que pour vous souhaiter une bonne et heureuse nouvelle année. Savez-vous qu'en fait la tradition des cartes de nouvel an remonte exactement à 1900, avec
une apparition à très petite échelle. Mais ce n'est que vers 1904-1906 que cette mode prit vraiment son essor.
Que souhaiter aux Oriciens pour ce nouveau siècle (ce nouveau millénaire ?). Tout d'abord et avant tout, que notre ORIC nous procure à tous beaucoup de plaisir et suscite parmi nous un regain d'innovation. Il y a mille manières de s'amuser avec un ORIC. En retrouvant de temps en temps quelque vieux programme qui fit notre bonheur il y a 10 ou 15 ans ! En admirant le génie
de certains programmeurs actuels qui poussent l'ORIC dans ses plus profondes limites (démos et jeux époustouflants). En admirant encore l'astuce des quelques électroniciens qui dans nos rangs démultiplient les possibilités de nos machines, parfois avec un simple fil électrique et une touche de génie (PB5). En bidouillant soi-même un bout de programme, voire une petite amélioration de ROM ou de DOS.
On peut tout faire avec un ORIC, même des feux d'artifice, et je ne parle pas de court-circuits, mais de pyrotechnie (voir les MAG de Juillet/Août et Septembre). Il faudrait recenser toutes les applications bizarres dans lesquelles un ORIC à été employé, du relais de télévision à la fabrication de la bière, en passant par la classique gestion (professionnelle) de stock. Mais bon, peut-être vaut-il mieux créer du neuf. L'ORIC est un loisir pas plus bête qu'un autre, et même, compte tenu de ses limites, beaucoup plus intelligent, car faisant appel à la réflexion plus qu'à la consommation !
Bien Oricalement,
André
André Chéramy 42920 JEANSAGNIERE
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