Nº125 (9/2000)
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EDITORIAL
Un an de rédaction-en chef ! Il me faut donc faire un peu le bilan. J'ai reçu une vingtaine d'e-mails de félicitation pour le CEO-MAG de juillet/août. C'est vrai qu'il a battu tous les records et pas seulement en épaisseur ! Mais le rédacteur-en-chef ne rédige qu'une petite part. Pour le reste, il sert de boîte à lettre qui centralise les contributions et il faut bien reconnaître qu'elles ont été nombreuses et de qualité. Merci donc à tous, à ceux qui ont participé et à ceux qui vont le faire, dans les prochains numéros. Merci aussi à Alain, qui à réussi à photocopier et dispatcher le pavé à temps et ceci malgré mon retard.
Au cours des 10 premières années (fêtées en avril 2000 avec le numéro 120) le CEO-MAG a eu en moyenne 8 pages par numéro, un peu moins au début, beaucoup plus à la fin. Au cours de la dernière année, c'est un mag de 26 pages en moyenne que vous avez reçu. Comme vous avez pu le lire dans l'article "Du Journal Electr'Oric au CEO-MAG", à deux exceptions près
(Bertrand Petit et Alex Delobel, dont personne ne se souvient plus), le CEO-MAG a eu la chance d'avoir de très bons rédacteurs-en-chef. J'essaie de ne pas dépareiller la tradition.
Outre les "vieux de la vieille" (Alain Weber, Jean Boileau, Laurent Chiacchiérini, etc.), la palme de la fidélité revient à Thierry Bestel et Gilles Boussard qui ont écrit dans le premier numéro et qui m'ont envoyé récemment de la matière première pour le CEO-MAG. Pourtant, des défections se produisent régulièrement, même parmi ceux qui ont contribué de manière significative. Quelques exemples récents : Jon Haworth (ex-vice président, qui sévit toujours sur le web, mais qui nous a laissé tomber sans explications), Jean-Marie Hoy (autre vice-président, qui doit avoir un gros problème, car ce n'est pas son genre de faire le muet), Jean-Marc Duro (écoeuré par l'absence de retour après l'énorme effort de son interface Oric-PC).
D'ailleurs, je reçois très souvent le témoignage de personnes qui ont beaucoup donné dans le désert et en ressentent un peu d'amertume. Mais, comme je le souligne à chaque fois, si les retours ne sont pas immédiats, ils existent malgré tout, tôt ou tard.
Et puis, il y a aussi une nouvelle génération, qui participe activement à la vie du club. J'espère n'oublier personne, pardon si c'est le cas. Cela a commencé, il y a quelques années, avec Simon Guyart, Jean-David Olekhnovitch et Dominique Pessan (1996) puis Jede et Jean-Marc Duro (1997) puis Jean-Claude Catherine, Mickaël Pointier et Philippe Montegnie (1998) et maintenant Grégory Guazzelli (1999). Que de contributions de qualité au CEO-MAG et à la
vie du club en général !
La participation, c'est aussi ceux qui viennent, parfois de loin, aux visus : Alain Weber, André Chéramy, Claude Sittler, Damien Ponnelle, Dominique Pessan, Jean «Zident» Boileau, Jean-Baptiste Grandvallet, Fabrice Francès, les François (Bolf et Launay), Frédéric (Wolinski), Ghislain Poirot, Godefroy Troude, René Hutin, Roger Barbier, Simon Guyart, Thierry et Xavier Bestel, Xavier Regourd et j'en oublie encore un ou deux.
Quid de l'Oric et du CEO ? Ca marche et ça marche même bien. Il faut avoir été à la dernière visu et avoir vu réunies quelques innovations, qui auraient fait pleurer d'envie Oric International : Entre autre, le plus petit Oric du monde (une sorte de Palm-Oric, voir le CEO-MAG de juillet/août) de Fabrice Francès, le SNES comme terminal Oric ainsi que l'émulation Oric sur SNES (JD et Fabrice Francès), l'Oric stéréophonique à 2 fois trois canaux de Dominique Pessan, Claude Sittler et André Chéramy, l'étonnante nappe à cavaliers de configuration de Jean Boileau et je ne parle pas des curiosités apportées par Grégory Guazzelli. Un feu d'artifice cette visu ! Pardon au fidèle Laurent Chiacchiérini, que nous avons exclu de cette visu en fixant la date le seul jour où il ne pouvait pas venir !
Que vive encore longtemps comme ça le CEO! André |
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LA VISU DU CEO a eu lieu le samedi 17 juin 2000. Les participants ont pu y admirer, entre autres belles choses, le kit Atmos apporté par Grégory Guazzelli. Avouez que vous navez jamais vu ça !
Dominique Pessan nous présente LE PROJET Y ! Nous allons pouvoir jouer à « Blue War » !
NOSTALGIE... Jean Boileau nous commente une publicité de Ellix... un tant soit peu approximative!
Fabrice Francès nous initie aux mystères de lémulation : INFOCOM
CONNECTEZ une imprimante PC à votre Atmos ! Ceci grâce au câble adapté par Jérôme D !
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sommaire
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Adresses CEO / Sommaire |
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Page 2
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Courrier Oricien |
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Page 4-7
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Oricien, qui es-tu ? |
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Page 7
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Petites Annonces |
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Page 8-9
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Des DRIVES et des DOS (5) |
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Page 10-12
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Anecdotes / Bruits de Couloir / Brèves |
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Page 13
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Le Projet Y (1) |
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Page 14-15
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Nouvelles Adresses / Nouveaux Liens |
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Page 16-17
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Nostalgie... Nostalgie... ELLIX |
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Page 18-22
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Shoot Again (31) "STYX" |
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Page 23
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La Libairie Oric (16) |
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Page 24
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Emulation (6) : Infocom (2) |
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Page 28-30
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Connectez une Imprimante PC |
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Page 31
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Abonnements, Anciens numéros, Anciennes disquettes |
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Page 32
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Si vous disposez d'une vieille carte mère hors service (ou pas ?), récupérez la nappe imprimante (si c'est une carte mère AT). Parce que nos chers constructeurs, nous imposent encore un standard de boîtier(ATX), qui n'apporte rien, à part qu'il vous oblige à l'acheter pour une question de largeur de boîtier, très discutable sur le plan de l'utilité...
Il suffit donc de couper l'extrémité du connecteur qui doit s'enficher dans l'ORIC. Couper les 3 derniers trous ou les 6 si on compte les trous au-dessus ou en dessous de ces 3 premiers trous. La figure montre la partie à couper. La croix représente la partie à couper, elle comprend 6 trous. Coupez avec une scie car au cutter vous risquez de mettre longtemps et vous évitez le risque de vous couper.
Ensuite, cette fois-ci, coupez au cutter le détrompeur : Et Bien oui, maintenant que le connecteur fait 20 trous, le détrompeur n'est plus à la place où il devait être et puis de toute façon, il empêche de mettre le connecteur dans l'ORIC.
Renforcez le connecteur avec du ruban adhésif, car maintenant, il est plus que fragile, puisque la partie plastique qui maintient le tout ne tient plus que d'un seul coté !
Et c'est tout en 10 minutes, vous connectez une imprimante PC sur votre ORIC. Maintenant, branchez l'imprimante au port imprimante nouvellement créé. Chargez un programme, tapez LLIST, et hop ça imprime. Enfin, presque car avec l'essai d'une HP540 sur TELESTRAT, j'ai été contraint à appuyer sur le bouton "erreur" de l'imprimante quand sa lampe associée s'est mise à clignoter, pour que l'impression se lance.
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